La semaine classique a attiré cette année énormément de spectateurs (env. 500 par spectacle). Incroyable ! Le parc Bertrand est devenu « the place to be ».

La météo est d’habitude notre angoisse, mais le pacte secret avec « là-haut » fonctionne toujours et tous les concerts ont pu se dérouler comme prévu, en air libre.
Samedi, le quatuor Terpsycordes et le bandonéoniste William Sabatier ont interprété avec beaucoup force et sensibilité un programme écrit ou arrangé par ce dernier, sur la musique d’Edith Piaf et Astor Piazzolla :
– Five Tango Sensations, A. Piazzolla
– Four for Tango, A. Piazzolla
– Les Hommes de Piaf, W. Sabatier
– Escualo, A. Piazzolla
– La Muerte del Angel, A. Piazzolla
– Oblivion, A. Piazzolla
Ponctuée par les apparitions des danseurs Alejandra Heredia et Mariano Otero de Madrid, dont la chorégraphie et les costumes ont soulevé littéralement le public, la rencontre (en première) entre ces immenses artistes a fini sous les ovations.

    

Dimanche, l’ami du festival, Serguei Ostrovski, violoniste, chef d’orchestre et pédagogue, a clôturé le festival pour la troisième fois, avec un jeune ensemble de Neuchâtel, concert culminant avec « les Quatre saisons de Vivaldi ». A cette occasion, des applaudissements soutenus sont allés aux invitées, à Sophie Branson, 12 ans, élève de la Zakhar Bron School of Music de Zürich et à la très jeune Maïa Ostrovski, la fille de Sergei, 10 ans, qui faisait sa première apparition sur scène. Magnifique !